25.7.2019 / notes

L’air est plus épais que d’habitude, d’un velouté qu’il faut se forcer pour aspirer et qui vous arrive aux poumons comme un début de noyade dans un bol de potage.

 

Il n’y a plus de gentillesse, rien que la soupe brûlante de la chaleur qui s’écoule dans la gorge – des épées de lumière blanche en travers de l’œil et sur la peau un film de sueur tiédasse.

 

La seconde peau de robe que vous portez, brûle, glace et colle comme du plastique fondu.

 

Les livres de bibliothèque se sont littéralement soudés les uns aux autres.

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