A l’extinction de ce dimanche, la peine. Nous avons gagné plusieurs kilomètres de hauteur sous ciel. Ce soir, j’ai envie de pleurer comme si cela ne devait plus jamais se reproduire, comme si les printemps exubérants qui ont jalonné mon enfance étaient ravalés au rang de légendes, ou comme si sa promesse de l’été à venir, la nature allait s’en dédire.